Chirurgie esthétique
Les différentes méthodes
Reconstructrice réparatrice

Chirurgie reconstructrice du corps

Ce type de chirurgie a lieu dans divers cas. Le plus connu est la chirurgie cutanée qui concerne donc des interventions sur la peau du patient.

Tout d’abord, pour les cicatrices trop visible ou gênantes par exemple, le but sera de la remplacer par une autre plus discrète. En effet, une cicatrice ne disparaît jamais entièrement parce qu’elle touche ne touche pas que l’épiderme de la peau qui se régénère facilement, mais aussi le derme qui est la partie profonde de la peau. Ainsi, on peut espérer que la cicatrice devienne plus blanche et moins gonflée avec le temps.

Dans le cas d’une lésion cutanée on ajoute une marge de sécurité autour de la zone de lésion à ablater. Le chirurgien réalisera l’opération en ‘fuseau’ afin qu’elle s’intègre au maximum dans les plis de la peau du patient. Ici la suture est directe est généralement directe si la peau est en bon état. Autrement, il faudra utiliser la technique de greffe de peau d’une zone donneuse comme le cuir chevelu, ou cette de la plastie locale qui nécessite d’utiliser la peau environnante pour recouvrir la lésion.

Selon les situations, le patient devra être placé soit sous anesthésie locale pure où seule la zone traitée est insensibilisé. L’anesthésie vigile fonctionne comme l’anesthésie locale, mais le patient est traité afin d’être le plus relaxé possible. Le dernier choix est celui de l’anesthésie générale qui est rarement pratiquée. L’effet de l’opération n’est pas immédiat, selon les individus il faut attendre entre 6 mois et 2 ans.

Certains individus sont touchés par la maladie de Dupuytren. Elle touche les tissus qui séparent la peau et les muscles : les aponévroses qui se gonflent et créent un handicap. Lorsque cette maladie se déclare, elle touche les mains et rend l’extension des doigts impossible, mais pas la contraction. Pour contrer cette maladie, votre chirurgien vous proposera plusieurs méthodes, mais la plus courant peut parfois surprendre : la paume ouverte. Une fois l’intervention réalisée, le chirurgien ne refermera pas une partie des plaies. C’est un procédé tout à fait normal qui nécessitera des soins particuliers à respecter à la lettre.

Il se peut que l’on développe les kystes au niveau du poignet appelé : kyste synovial. Ils sont caractérisés par une grosseur soit à la base des doigts, soit sur le dos du poignet. Ils apparaissent sans raison précise à n’importe quel moment et peuvent disparaître de la même manière. Si la gêne est trop forte, il est possible d’intervenir. Afin d’éviter une raideur du poignet, le chirurgien peut effectuer une ‘arthroscopie’. Une petite caméra est insérée dans le kyste par incision, elle permet de guider un autre petit appareil inséré de la même manière afin de résorber le kyste. Effectuée sous anesthésie loco-régionale du bras, elle est peu douloureuse. Le seul problème est que ce kyste synovial peut réapparaître à n’importe quel moment.