Depuis de nombreuses années, la chirurgie esthétique a pris une dimension très importante. Les pratiques les plus courantes (seins, fesses, liposuccion, etc…) se sont largement démocratisées pour le plus grand bonheur des femmes mais aussi des hommes dans l’hexagone. Ce marché équivaut à un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards d’Euro, une aubaine pour les praticiens renommés qui bénéficient d’une excellente publicité. Que ce soit pour avoir la jeunesse « éternelle » ou pour mincir en quelques coups de scalpels, la chirurgie esthétique rend des services physiques et psychologiques à celles et ceux qui reçoivent ces soins. Toutefois, la guerre fait rage entre les chirurgiens esthétiques et les chirurgiens classiques. En effet, ces derniers pensent que la réglementation des premiers pourrait s’assainir car au niveau de la sécurité sociale, certains actes sont pris en charge auxquels cas le patient passe par le circuit classique, à savoir les hôpitaux publics mais certaines chirurgies sont délibérément choisies par les clients passant par des cliniques privées.
Il y a donc deux poids et deux mesures qui ne sont pas du goût des chirurgiens classiques. En somme, tout le monde veut profiter de cet énorme gâteau et tout le monde veut une part, si possible la plus importante possible. La bonne nouvelle est que le patient est le grand gagnant de cette querelle de clocher. Les actes de chirurgies esthétiques sont de plus en plus performants et les périodes de convalescences postopératoire plus courtes pour un taux de réussite très intéressant. Une aubaine pour se faire refaire ce que vous souhaitez.
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